Il y a quelques décennies seulement, la plupart des hémophiles mouraient jeunes.
Les progrès de la médecine leur permettent aujourd’hui de vivre à peu près aussi longtemps que la population générale. Pour la première fois, donc, les médecins sont appelés à soigner des hémophiles vieillissants.
L’un des principaux problèmes est qu’à l’époque qui a précédé l’apparition des nouveaux traitements, les organes des patients ont été endommagés pour des raisons liées à leur hémophilie ainsi que pour d’autres raisons, ce qui pose des problèmes aux médecins qui les traitent aujourd’hui.
Des chercheurs ont étudié la question et ont conclu qu’une approche intégrée et multidimensionnelle constitue la meilleure solution.